QUAND FÊTER LA SAINT ROMAIN ?

 

Accession au Paradis non garantie

 

 

LE CALENDRIER DE TOUS LES SAINTS

NOMMÉS « SAINT ROMAIN »

 

 

LE CALENDRIER DE TOUS LES SAINTS

DONT LE NOM EST PROCHE DE « ROMAIN »

 

 

LISTE ALPHABÉTIQUE DE TOUS LES SAINTS PRÉSENTS SUR LE SITE

 

 

En règle générale, le jour du saint patron est le lendemain du début de la célébration (l’Office) du saint, commencée par les premières vêpres – et poursuivie à matines, avant les trois nocturnes, les laudes, la messe et les deuxièmes vêpres. Le saint est en règle générale fêté au jour de sa mort (24 juillet pour saint Boris-Romain) ou de la translation de ses reliques (2 mai pour saint Boris-Romain). C’est l’Église qui décide de la date, au moment de la canonisation.

Mais comment faire si votre prénom ne figure pas dans le calendrier des saints ? En ce cas, vous pouvez vous choisir pour patron le saint le plus proche ou un saint dont le nom est très proche du vôtre en sonorité. C’est ainsi que l’on dit aux Romane etc. que leur fête a lieu le 28 février, date qui est en réalité la saint Romain. Par exemple, ce choix peut avoir lieu lors de votre baptême. Vous pouvez aussi garder tout simplement votre prénom, devenir saint vous-même, et permettre à d’autres chrétiens de porter désormais votre prénom dès leur baptême.

Mais comment savoir quel est votre saint Romain, quand plusieurs saints ont porté ce prénom ?

Sachez que pour les orthodoxes votre saint patron est celui qui porte votre prénom et dont la fête est la première après votre jour anniversaire. Peu importe qu’il soit abbé, diacre, ermite, évêque, hymnographe, martyr, mélode, moine, néo-martyr, pèlerin, prêtre ou prince. Attention aux différences entre calendriers grégorien et julien : nous donnons les dates orthodoxes en nouveau style.

Pour les catholiques, le choix du saint exact dépend en principe des parents ou de ceux qui les ont remplacé le jour du baptême. Dans le cas d’un baptisé adulte, le choix appartient au baptisé. Une autre question peut se poser : « Et si l’on ne peut plus le savoir, s’il était ignoré qu'il y en avait plusieurs de possible pour le même prénom ? La réponse semble aisée : alors on en choisit un et un seul, pour autant que cela ait de l'importance pour nous...

Nous ajouterons dès que possible le moment estimé de vénération ou de proclamation de la sainteté, car si une personne a été baptisée avant la canonisation, alors le nouveau saint portant le nom de cette personne ne peut être considéré comme son saint patron, mais seulement comme saint patron d’une personne baptisée après sa canonisation.

Nous ne donnons, dans le calendrier même, que les noms français des saints, en faisant figurer entre crochets droits les principales appellations concurrentes, et que nous jugeons moins pertinentes. Néanmoins, nous enrichissons progressivement notre anthroponymie (et hiéronymie) des noms français (Romain le Mélode), latins (Romanus Melodus), grecs (Ῥωμανὸς ὁ Μελωδός), russes (Роман Сладкопевец) et slavons (Романъ Сладкопѣвецъ). Notre calendrier intéressera en tous les cas tous les Romain, Роман, רומן, Ῥωμανός et Ռոմանոսի du monde : ici encore, principe semblable de parenté phonétique et graphique !

Nous préciserons bientôt quelles églises orthodoxes reconnaissent quels saints, car certains saints ne sont pas reconnus par tous les patriarcats ; de même dans le domaine catholique nous préciserons bientôt quelle date de célébration est en usage dans quels diocèses. En effet, tous les saints ne sont point égaux en catholicité : certains sont l’objet d’un culte local (approuvé ou non par l’Église), d’autres appartiennent au propre du diocèse, d’autres encore au propre du pays, d’autres encore – honneur – au martyrologe romain (si le saint y appartient, alors on peut lui dédier une église) et d’autres enfin – suprême honneur – au calendrier romain général. La fête qui en dépend peut donc – comme la Fête de la Toussaint – relever du 2e degré des célébrations ecclésiastiques ; ou du 3e degré des célébrations ecclésiastiques (fête générale ou particulière d'un saint) ; faire l’objet d’une mémoire obligatoire ou, à défaut, d’une mémoire facultative.

Ordination, mort, translation des reliques, dédicace d'église, association à un autre saint : il peut arriver qu’un saint soit mentionné à plusieurs dates selon les sources ou pour différents événements, nous les indiquons par (1) et (2) voire (3) sans qu’il faille y voir une quelconque prééminence de la première. Bientôt, nous mentionnerons lesdites sources.

 

Ne surtout pas hésiter à compléter / corriger ce document

(que vous soyez prénommé Romain ou non !)

en m’écrivant à vromain @ gmail.com